
Vieux Greement - Type de Navire - Voilier de Pêche
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![]() Jantje est actuellement un voilier à deux mâts navigant sur la côte atlantique. C'est un brick-goélette. |
![]() La Cancalaise est une réplique de bisquine construite en 1987 à Cancale. Elle est gréée en lougre de pêche à trois-mâts avec voiles au tiers. |
![]() Le Corbeau des mers est un voilier en bois, gréé en sloop aurique, construit pour un patron-pêcheur de l'île de Sein. |
![]() Le Sinagot Vannes est un Bateau de pêche traditionnel du Golfe du Morbihan |
![]() C'est une reproduction de cet ancien schooner de pêche qui fut construit en 1940 à Shelburne, en Nouvelle-Écosse. |
![]() Construit sur le modèle d'un voilier traditionnel, il a d'abord servi, sous le nom de Relinquenda comme chalutier. |
![]() C'est un modèle unique des bateaux de pêche traditionnelle du Bono, le chalutier à perche du début du XXe siècle. |
![]() construit en 1933 au chantier Querrien du Bono (56) pour les Éclaireurs de France de Vannes. |
![]() Mab er guip de l'île de Berder, réplique du Vainqueur des Jaloux. |
![]() Ce bateau était utilisé au dragage du maerl, au transport de granit et à la pêche aux coquillages. |
![]() Avec le Creoula, il est un des survivants de la flotte morutière portugaise. |
![]() Elle a été lancée en 1933 comme bateau de pêche sous le nom d’Erika. |
![]() Construite pour la pêche, le bateau a été transformé en goélette à trois mâts à hunier |
![]() C'est un lougre de pêche à trois-mâts, à coque bois et voiles au tiers. |
![]() L’Étoile est, avec son sister-ship la Belle Poule, appelée aussi goélette paimpolaise. |
![]() La goélette Escarmouche est probablement la dernière goélette de pêche construite en France. |
![]() Acquit par Dives sur Mer et restauré, Saint Rémi change de gréement, de misainier devient flambart. |
![]() Le flambart "Barr Awel" est une réplique des sardiniers de Locquémeau |
![]() Un bateau de pêche aux crustacés (caseyeur) de la côte du Cotentin. Il appartient à l'association Verguillon. |
![]() Ce chalutier a été construit en 1957, et baptisé Bielefeld. |
![]() Ces canots pratiquaient la « petite pêche », cordes (palangres), filets, casiers, lignes... |
![]() C’est son nom d’origine, toujours gravé sur son tableau arrière. Il pratiqua notamment la pêche au maquereau. |
![]() Sa forme est de celles qui ont été lancées par les constructeurs de Barfleur et de Saint Vaast la Hougue. |
![]() Son nom de "Sept-frères" vient des sept fils du pêcheur. |